ode provencale

Les cigales chantent parmi les oliviers,
Et les abeilles butinent au vent léger
Les champs de lavande tellement parfumés.

Des fourmis au labeur dans les chemins
Dérobent quelques miettes de pain
Qui seront leur repas demain.

Les enfants sur les plages s'amusant
Sous le soleil ainsi nous démontrant
La merveille qu'il est d'être vivant.

Et dans cet azur pur et infini
Ou naissent les étoiles chaque nuit
Volent oiseaux et lucioles aussi.